NYC - Ville de paradoxes #2

Suite du séjour dans la ville qui ne dort jamais et je suis toujours aussi émerveillée ( et effrayée !)

Après une journée boulot, boulot, boulot ( les gens ici sont des marathonien du boulot), nous avons eu le plaisir d’aller prendre un peu l’air sur Lexington. Et là une chose m’a frappée : autant dans la journée les gens sont assez casual ( chaussures mises à part), autant le soir c’est un vrai défilé.

La New Yorkaise a des robes «  de soirée » et elle veut que ça se voie !

Même les collègues qui nous ont rejoints et qui viennent de St Louis dans le Missouri ont été frappés par ce détail. Quand on sort vers 7 heures, on croise beaucoup de gens habillés comme s’ils allaient à un mariage. Bon j’exagère peut être un peu mais certains détails ne trompent pas : les ballerines plates ont été remplacée par des chaussures type Bébé dans Dirty Dancing ( je pourrai d’ailleurs tuer pour savoir où elles ont trouvé ça !), les pochettes à strass remplacent les traditionnels sacs à main.

La nuit, NY s’anime : les gens rient, les gens parlent fort, ils se regroupent et apprécie le temps autour d’un verre dans une pizzeria ( toute ressemblance avec des faits réels est totalement fortuite !)

Autre particularité très New Yorkaise : les stands de Miam ! Tu as un petit creux ou pas le temps de prendre un vrai repas ? Pas de soucis. Tu as le choix entre des fruits, des sandwichs avec des œufs, des hot dog ( of course) ou bien tout un tas d’autres trucs que je ne saurais pas nommer tellement il y en a.

Les petites baraques à frites comme on les appelle en Belgique pullulent ici. Impossible de faire 100 mètres sans en croiser au moins deux…. Sauf qu’elles vendent tout sauf des frites ! Et les portions sont version maousse costaud ! On dirait que tout est plus grand. Une simple « petite » bouteille de coka c’est 591ml. Bien pratique quand il fait aussi chaud que maintenant !